Cyber Resistant Franco-Tunisien

mis en ligne lundi 28 février 2011 par jesusparis Ghannouchi, actuel premier ministre et ex-premier ministre de Ben Ali, vient d’annoncer sa démission. C’est une nouvelle victoire pour la révolution tunisienne. L’homme qui a été l’artisan du capitalisme néolibéral en Tunisie vient d’être éjecté du pouvoir, sous la pression populaire. Ainsi, en un peu plus de deux mois, les masses populaires ont fait un grand pas vers la délivrance de la Tunisie du pouvoir dictatorial ; le dictateur, son gouvernement et son parti sont d’ores et déjà hors d’état de nuire. Cette démission ouvre, sur le plan politique, sur toutes les recompositions possibles et imaginables. Tout d’abord, toutes les alliances et tous les regroupements politiques sont sous haute pression ; il est fort probable que bon nombre vont éclater, s’ils ne le sont pas encore. Ghannouchi a annoncé la couleur. Il dit préférer comme perspective politique un processus conduisant directement à une assemblée constituante et u...

Le point sur la situation dans les pays du Moyen-Orient et du monde arabe (c) AFP Beji Caïd Essebsi ARTICLES LIÉS    Libye : Kadhafi harangue ses partisans à Tripoli    Libye : les prix du pétrole se stabilisent VIDÉO   Villepin veut mettre Kadhafi au ban des nations PHOTO   Diaporama : "Sous la tente de Mouammar Kadhafi"    Les enfants de Kadhafi se disputeraient son empire PHOTO   Diaporama : "Sarkozy et les chefs d'Etat africains ou du Moyen-Orient" Voici la situation au Moyen-Orient et dans le monde arabe, pays par pays, lundi 28 février, alors que l'onde de choc née en Tunisie, puis en Egypte, ne cesse d'avoir des répercussions. En  Algérie : Le président américain Barack Obama a "félicité" le gouvernement algérien après la levée jeudi de l'état d'urgence décrété il y a 19 ans et espère que cette mesure augure de changements répondant aux aspirations du peuple algérien, a indiqué la Maison Blanche. "Il s'agit d...

27/02/2011 | Mise à jour : 22:22 Démonstrations de joie samedi à Benghazi.   Crédits photo : MARCO LONGARI/AFP «Je reste», a annoncé le leader libyen à la télévision serbe. Parallèlement, les dirigeants de la contestation annoncent avoir mis en place un «Conseil national» de transition pour représenter les villes tombées entre leurs mains. Mouammar Kadhafi ne veut pas se soumettre. Dans un entretien accordé à la télévision serbe,le leader libyen a juré dimanche de rester en Libye et a rejeté la responsabilité des troubles sur les étrangers et al-Qaida. Il a également condamné le Conseil de sécurité des Nations unies pour avoir décrété à l'unanimité des  sanctions  à son encontre, assurant que la Libye était «complétement calme». Il n'y a «pas d'incidents en ce moment» dans le pays et il n'y a «rien d'inhabituel. Il n'y a pas de troubles», a-t-il estimé. Parallèlement, les dirigeants de la contestation libyenne affirment avoir mis en place un «Conseil nation...

De  Jamjoom Mohammed  , CNN 25 février 2011 - Mise à jour 17h30 GMT (0130 HKT) Sanaa, Yémen (CNN)  - Des milliers de manifestants, principalement des étudiants, défilent dans les rues vendredi devant Université de Sanaa que l'administration manifestations anti continué. foules anti-gouvernement a également frappé les rues d'Aden au Yémen du sud, selon des témoins oculaires.   Des témoins oculaires ont rapporté que les forces de sécurité ont tenté de disperser la foule avec des gaz lacrymogènes et de matraques ont attaqué à l'aide - un compte en litige autorités. Les témoins oculaires ont dit 11 manifestants ont été blessés à Aden tandis que l'un est décédé de blessures par balle.   Les autorités ont insisté personne n'avait été tué. Des manifestations ont aussi été signalés dans les villes de Taiz et Ibb. La manifestation à Sanaa, la capitale, a été contrée par une manifestation pro-gouvernementale sur la place Tahrir, où des milliers ont brandi des drapeaux...

Par TF1 News (d'après agence),  le 28 février 2011 à 07h30 , mis à jour  le 28 février 2011 à 07:34 Dossier :  Crise en Libye A 50 km de Tripoli, Zaouiyah, tombée aux mains des insurgés, a été aussitôt encerclée par des forces fidèles à Kadhafi. Des barricades sont apparues dans certains quartiers de Tripoli. Un général passé aux côtés des insurgés se dit prêt à aider à "libérer" la capitale. Insurgés libyens (28/02/2011) © TF1/LCI Le face-à-face se déroule à une cinquantaine de kilomètres seulement de  Tripoli , à Zaouiyah. Une ville tombée ce week-end aux mains des insurgés, prenant de court des autorités libyennes qui avaient décidé d'en faire une image de propagande montrant que l'ordre règne en  Libye , et qui y avaient emmené des journalistes étrangers. Une fois sur place, au lieu de trouver une ville calme et contrôlée par le pouvoir, ils ont découvert une cité déjà prise par la révolution libyenne. Mais déjà encerclée, aussi, par des partisans de Kadh...