Les protestations se poursuivent au Yémen

De Jamjoom Mohammed , CNN

25 février 2011 - Mise à jour 17h30 GMT (0130 HKT)

Sanaa, Yémen (CNN) - Des milliers de manifestants, principalement des étudiants, défilent dans les rues vendredi devant Université de Sanaa que l'administration manifestations anti continué.

foules anti-gouvernement a également frappé les rues d'Aden au Yémen du sud, selon des témoins oculaires. Des témoins oculaires ont rapporté que les forces de sécurité ont tenté de disperser la foule avec des gaz lacrymogènes et de matraques ont attaqué à l'aide - un compte en litige autorités.

Les témoins oculaires ont dit 11 manifestants ont été blessés à Aden tandis que l'un est décédé de blessures par balle. Les autorités ont insisté personne n'avait été tué.

Des manifestations ont aussi été signalés dans les villes de Taiz et Ibb.

La manifestation à Sanaa, la capitale, a été contrée par une manifestation pro-gouvernementale sur la place Tahrir, où des milliers ont brandi des drapeaux et des photos de détenus président Ali Abdullah Saleh.

"Cette protestation et de toutes les manifestations suivantes sont pour la chute du régime", a déclaré Noman Saleem, un démonstrateur anti-gouvernement."Nous n'allons pas ralentir jusqu'à ce qu'il tombe. Qu'elle se place aujourd'hui ou demain, nous sommes patients, et nous allons attendre.""Nous sommes réunis à l'appui de l'initiative du président Saleh et montrer à la communauté internationale que nous sommes avec Saleh et que l'opposition ne contrôle pas les rues», porte-parole du ministère de l'Intérieur Mohammed Maueri dit avant la manifestation.

manifestants anti-gouvernementaux ont dit qu'ils cherchaient pour le régime à la fin.

Hasam Zaid, secrétaire général du parti d'opposition Haq, a déclaré la collecte Université de Sanaa est une «protestation du peuple» qui n'est pas coordonné par un parti politique particulier.

"Nous nous joignons à la jeunesse d'être parmi eux et de ne pas les conduire, dit-il.

Saleh a jugé au Yémen depuis 1978. Le pays a été ravagé par un soulèvement chiite, une vague de répression aux États-Unis aidé sur Al-Qaïda et à une pénurie d'eau. Le chômage élevé a alimenté une grande partie de la colère chez une population de plus en plus jeunes plongés dans la misère.

Les manifestants ont également citer la corruption du gouvernement et un manque de liberté politique.

Saleh a promis de ne pas briguer la présidence lors du prochain tour des élections, et il a dit qu'il soutient la création d'un gouvernement d'union nationale chargé de superviser les prochaines élections législatives.

Mais il a refusé de se retirer immédiatement. Le lundi, il a comparé les manifestations anti-gouvernementales à une maladie de balayage dans la région.

"Il s'agit d'un virus et ne fait pas partie de notre patrimoine ou la culture du peuple yéménite, at-il dit aux journalistes. «C'est un virus qui est venu de la Tunisie à l'Egypte. Et pour certaines régions, l'odeur de la fièvre, c'est comme la grippe. Dès que vous êtes assis avec quelqu'un qui est infecté, vous serez infecté."
source: edition.cnn