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Luxueuse, la Cité de la Culture de Tunis vue de l’intérieur !
Cité de la Culture vue de l’intérieur | CP : Min. des Affaires culturelles
La Cité de la Culture de Tunis, l’un des plus grands projets de ces dernières décennies en Tunisie, ouvrira prochainement ses portes, on évoque le 21 mars prochain comme une date d’inauguration de ce nouveau joyau de la capitale.
En octobre dernier, le Chef du gouvernement Youssef Chahed était en visite sur le site de la Cité de la Culture à Tunis, afin de s’enquérir de l’avancement des travaux. Il avait annoncé que la Cité, dont 80% des travaux ont déjà été réalisés, sera inaugurée ce 28 février, mais cette date a été reportée pour le 21 mars, selon le ministre des Affaires culturelles.
Ce dimanche 18 février, le ministère des Affaires culturelles, via sa page Facebook, a mis en ligne une vidéo illustrant ce projet de l’intérieur. Les premières images nous font penser que la cité, très luxueuse, est fin prête !
Notons que la Cité de la Culture devra accueillir la 19ème édition du festival arabe de la radio et de la télévision du 26 au 29 avril prochain.
Le projet de la Cité de la Culture s’étale sur 4,9 hectares et a couté à l’État 76 millions de dinars. Il devrait être composé d’un espace d’accueil général, une salle de spectacles (1800 sièges), une médiathèque, un musée d’art contemporain, des atriums, une cinémathèque, une maison d’artistes et un Musée National des civilisations.
Nous marchons les yeux ouverts vers quelque chose que personne ne veut vraiment Il y a des moments dans l’histoire où un pays donne l’impression de marcher en somnambule. Les gens vivent, travaillent, courent après la fin du mois, et pendant ce temps-là, quelque chose gronde au-dessus de leurs têtes. Une tension sourde, presque imperceptible, mais bien réelle. Et petit à petit, on comprend que ce bruit de fond, ce n’est pas un orage lointain : c’est la guerre qu’on commence à évoquer comme si c’était une fatalité. Depuis quelques semaines, quelque chose a basculé. Pas un grand discours officiel, pas une déclaration solennelle à la nation. Non. C’est venu par fragments, comme des éclats de vérité qu’on entendait rarement auparavant : un jeune lieutenant qui dit au JDD que « si on y va, ce sera un carnage ». Un général qui parle d’instrumentalisation politique des armées. Des sondages qui montrent que les jeunes ne veulent plus “aller défendre le pays” sans comprendre ce qu’on leur d...
Publié par Yasmin le 27 janvier 2011 à 15:45 Mardi 25 Janvier, le ministre du Développement Régional et Local Ahmed Néjib Chebbi, annonçait qu’une somme de 500 000 dinars avait été mobilisée pour aider et assister les citoyens touchés par l’injustice sociale et le déséquilibre entre régions mais également pour dédommager les familles des victimes de la révolution. Ainsi il a été décidé d’octroyer une somme de 3000 dinars aux blessés et une somme de 20000 dinars aux familles de personnes tuées pendant la révolution. Parmi ces familles, figure celle de Hattem Bettahar, un franco-tunisien enseignant à l'université de Compiègne (Oise), tué par balles a Douz. On apprend que cette dernière a refusé la compensation offerte par l’Etat. source: webdo
Lors de la première journée de sa visite d’Etat, le président français a réitéré « le soutien » de Paris au « modèle démocratique tunisien ». Par Cédric Pietralunga (Tunis, envoyé spécial) et Frédéric Bobin (Tunis, envoyé spécial) LE MONDE Le 01.02.2018 à 00h49 • Mis à jour le 01.02.2018 à 11h24 « Combat commun. » Emmanuel Macron a insisté avec force sur la formule pour souligner la solidarité profonde qui lie la France et la Tunisie lors du début de sa visite d’Etat à Tunis, mercredi 31 janvier. « Si vous échouez, nous échouerons, le même jour ou le jour d’après », a-t-il précisé lors d’une conférence de presse menée conjointement au palais présidentiel de Carthage (nord de Tunis) avec son homologue tunisien, Béji Caïd Essebsi. Le déplacement du président français s’inscrit dans un contexte sensible en Tunisie alors que le désenchantement social et économique alimente une grogne récurrente dans les classes les plus défavorisées. Début janvier, des rassemblements contre la h...
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