Nouveau raid sur Ras Lanouf
Par FTV (avec agences)

La télévision Al Libiya (proche du pouvoir) a déclaré que les forces armées se dirigeaient vers la ville rebelle de Benghazi, à 1.000 km à l'est de Tripoli.
La télévision d'Etat a annoncé de son côté la "libération de la ville de Tobrouk des bandes terroristes" et a diffusé des images de "manifestations de joie" sur la place verte à Tripoli,ainsi qu'à Syrte (à l'est de Tripoli) et Sebha (sud).
Selon l'AFP, Ras Lanouf toujours contrôlé par les insurgés
Mais selon des journalistes de l'AFP sur place et les insurgés, Ras Lanouf était toujours contrôlée dimanche matin par ces derniers. "Il n'y a pas eu des combats dans la nuit, la ville est sous notre contrôle", ont indiqué des insurgés à l'AFP sur place. "Nous sommes plusieurs journalistes dans un hôtel à l'entrée ouest de la ville et nous n'avons pas entendu de bruit de combats", a ajouté de son côté un journaliste de l'AFP.
Tirs à Tripoli
Des tirs nourris d'arme automatique ont résonné dimanche vers 06H20 dans le centre de la capitale libyenne, Tripoli, a rapporté un journaliste de l'AFP. Il n'était pas possible de déterminer l'origine des tirs. Ils ont été entendus depuis un hôtel situé aux abords du centre historique de la ville, à moins d'un kilomètre de la place Verte. Tripoli, restée sous le contrôle des autorités libyennes, a été largement épargnée par les violences depuis une semaine.
Contre-offensive à Zawiyah
Samedi, au 19e jour de la révolte contre Mouammar Kadhafi, l'opposition libyenne, maîtresse de l'est du pays, a essuyé une contre-offensive massive à Zawiyah, près de Tripoli, mais poursuivait sa progression vers l'ouest, et s'organisait sur le plan politique en se déclarant "seule représentante" du pays.
Mouammar Kadhafi a déclaré être favorable à l'envoi d'une commission d'enquête "des Nations unies ou de l'Union africaine" pour évaluer sur place la situation dans son pays, dans une interview publiée dimanche par l'hebdomadaire français Le Journal du Dimanche.
Plus de 191.000 réfugiés
Plus de 191.000 personnes ont fui à ce jour les violences, notamment vers la Tunisie, et environ 10.000 personnes déplacées se dirigent vers la frontière égyptienne, selon l'ONU.
L'opposition s'organise
Le Conseil national libyen, qui représente l'opposition dans l'Est, a nommé samedi un comité de crise de trois membres avec Omar Hariri, un des officiers qui avait participé au coup d'Etat de Mouammar Kadhafi, Ali Essaoui, ancien ambassadeur en Inde qui a démissionné le mois dernier et Mahmoud Djebril, qui a participé avec un groupe d'intellectuels au projet d'établissement d'un Etat démocratique. Le Conseil national des rebelles s'est déclareé "seul représentant" de la Libye.
source: info.france2
Près de Ras Lanouf, insurgés près des débris d'un bombardier Sukhoi 24 qu'ils disent avoir abattu
AFP/malcolm webbLa bataille continue entre insurgés et forces fidèles à Kadhafi qui disent avoir repris plusieurs villes
L'AFP signale dimanche matin un nouveau raid aérien des forces pro-Kadhafi sur Ras Lanouf,ville pétrolière que le régime affirme pourtant avoir repris, ainsi queMisrata et Tobrouk, à l'est du pays.
La télévision Al Libiya (proche du pouvoir) a déclaré que les forces armées se dirigeaient vers la ville rebelle de Benghazi, à 1.000 km à l'est de Tripoli.
La télévision d'Etat a annoncé de son côté la "libération de la ville de Tobrouk des bandes terroristes" et a diffusé des images de "manifestations de joie" sur la place verte à Tripoli,ainsi qu'à Syrte (à l'est de Tripoli) et Sebha (sud).
Selon l'AFP, Ras Lanouf toujours contrôlé par les insurgés
Mais selon des journalistes de l'AFP sur place et les insurgés, Ras Lanouf était toujours contrôlée dimanche matin par ces derniers. "Il n'y a pas eu des combats dans la nuit, la ville est sous notre contrôle", ont indiqué des insurgés à l'AFP sur place. "Nous sommes plusieurs journalistes dans un hôtel à l'entrée ouest de la ville et nous n'avons pas entendu de bruit de combats", a ajouté de son côté un journaliste de l'AFP.
Tirs à Tripoli
Des tirs nourris d'arme automatique ont résonné dimanche vers 06H20 dans le centre de la capitale libyenne, Tripoli, a rapporté un journaliste de l'AFP. Il n'était pas possible de déterminer l'origine des tirs. Ils ont été entendus depuis un hôtel situé aux abords du centre historique de la ville, à moins d'un kilomètre de la place Verte. Tripoli, restée sous le contrôle des autorités libyennes, a été largement épargnée par les violences depuis une semaine.
Contre-offensive à Zawiyah
Samedi, au 19e jour de la révolte contre Mouammar Kadhafi, l'opposition libyenne, maîtresse de l'est du pays, a essuyé une contre-offensive massive à Zawiyah, près de Tripoli, mais poursuivait sa progression vers l'ouest, et s'organisait sur le plan politique en se déclarant "seule représentante" du pays.
Mouammar Kadhafi a déclaré être favorable à l'envoi d'une commission d'enquête "des Nations unies ou de l'Union africaine" pour évaluer sur place la situation dans son pays, dans une interview publiée dimanche par l'hebdomadaire français Le Journal du Dimanche.
Plus de 191.000 réfugiés
Plus de 191.000 personnes ont fui à ce jour les violences, notamment vers la Tunisie, et environ 10.000 personnes déplacées se dirigent vers la frontière égyptienne, selon l'ONU.
L'opposition s'organise
Le Conseil national libyen, qui représente l'opposition dans l'Est, a nommé samedi un comité de crise de trois membres avec Omar Hariri, un des officiers qui avait participé au coup d'Etat de Mouammar Kadhafi, Ali Essaoui, ancien ambassadeur en Inde qui a démissionné le mois dernier et Mahmoud Djebril, qui a participé avec un groupe d'intellectuels au projet d'établissement d'un Etat démocratique. Le Conseil national des rebelles s'est déclareé "seul représentant" de la Libye.
source: info.france2
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