Des milliers de personnes dans les rues du Yémen à un nouveau "jour de colère"



Des dizaines de milliers de manifestants descendus dans les rues du Yémen, le mardi, de consacrer une nouvelle «journée de la colère» pour les personnes tuées dans les manifestations ces derniers mois et en appelant à la fin du régime du président Ali Abdallah Saleh de trois décennies.
En Shona BHATTACHARYYA (vidéo)
Nouvelles Fils (texte)
 
AFP - Une foule immense versé dans les rues de la capitale yéménite, Sanaa, mardi, à ce que l'opposition saluée comme la plus grande manifestation encore contre Ali Abdullah Saleh trois décennies la règle du président.
            
Le vieux chef, dont les partisans ont organisé une grande contre-manifestation, a rejeté le rassemblement de l'opposition comme une action copycat imitant des manifestations dans d'autres pays arabes qu'il avait été chargé attisé par Israël et les États-Unis.
            
Il a ensuite limogé les gouverneurs des cinq provinces où les manifestations anti-régime ont fait rage, surtout dans les régions qui ont fait l'ancien Yémen du Sud.
            
Une annonce officielle a déclaré Saleh a supprimé les gouverneurs d'Aden, Abyan Lahij et dans le sud, ainsi que dans le sud-Hadramout et Hudayda à l'ouest.
            
adversaires Saleh massés depuis tôt le matin dans les rues menant à une place près de Université de Sanaa, où les étudiants et les manifestants pro-démocratie ont été campé pendant plus d'une semaine.
            
"Les gens veulent Ali Abdullah Saleh de partir", les manifestants scandaient. "Les gens veulent renverser le régime."
            
Beaucoup de manifestants ont défilé dans des linceuls blancs de lecture: ". Soit nous vivre heureux ou nous mourrons en martyrs"
            
L'opposition a dit un demi-million de personnes s'est avéré, même si un correspondant de l'AFP a indiqué que le numéro a été surestimé.
            
"Depuis le sit-in a commencé près de l'université de Sanaa, nous n'avons pas assisté à une telle participation", l'un des organisateurs, Hashem al-Sufy, a déclaré.
            
La décision du général populaire Congrès a donné une exagération, même les plus sauvages du nombre de personnes à la contre-manifestation à la place Tahrir, le mettre à 1,5 million. Un correspondant de l'AFP la réalité a été une fraction de cela.
            
Plusieurs personnalités de l'opposition abordé la manifestation anti-gouvernementale, y compris la direction ecclésiastique Abdul Majeed al-Zendani, qui est identifié comme un "terroriste mondial" par Washington.
            
Zendani a déclaré que le mouvement de protestation qui bouleversent le monde arabe était "un moyen nouveau, efficace, rapide et non destructive des régimes de change."
            
Saleh a frappé en arrière, dans un discours à l'Université de Sanaa. "Les événements de la Tunisie à Oman sont une tempête orchestrée par Tel-Aviv et et sous la supervision de Washington", at-il dit.
            
"Ce qui se passe dans les rues du Yémen est simplement une tentative de mimétisme, dit-il. Les manifestants sont "dirigé de l'extérieur» et sont à la solde des «sionistes», il chargea.
            
Saleh s'en est pris au président américain Barack Obama pour ses appels répétés à la retenue par les régimes arabes qui ont longtemps été les principaux alliés et son soutien aux protestations populaires qui a renversé anciens dirigeants en Egypte et en Tunisie.
            
"Chaque jour nous entendons une déclaration de Obama ... (disant) l'Egypte ne le faites pas, la Tunisie ne fais pas ça ... Qu'est-ce qu'Obama a à voir avec Oman, qu'est-ce qu'il a à voir avec l'Egypte? Vous sont le président des États-Unis, dit-il.
            
Le chef yéménite, au pouvoir depuis 1978, a maintes fois rejeté les appels à sa démission, affirmant qu'il va défendre son régime "à chaque goutte de sang."
            
Sa seule concession a été de s'engager à ne pas se faire réélire en 2013, ce que l'opposition a rejeté comme insuffisantes.
            
Des milliers de manifestants s'est également avéré le mardi dans la province méridionale de Lahij.Dans la ville de Seiyun, dans la province de Hadramout plus à l'est, les forces de sécurité ont tiré et blessé deux manifestants, témoins et des médecins à l'AFP.
            
Dans la principale ville du sud d'Aden, des milliers sont descendus dans les rues du quartier Al-Mansoura portant des drapeaux noirs en deuil de manifestants tués lors de violents affrontements avec la police, ont indiqué des témoins.
            
Des manifestations ont également été signalés dans les districts et Maalla cratère. 
            
Le chef de l'ONU droits de l'homme a averti les autorités yéménites contre la répression violente de manifestations pacifiques, en disant que les gens ont le droit d'exprimer leurs griefs.
            
«Les gens ont le droit légitime d'exprimer leurs griefs et leurs revendications à leur gouvernement», Navi Pillay, Haut Commissaire pour les droits de l'homme, a déclaré dans un communiqué publié à Genève.
            
"Nous avons vu maintes et maintes fois dans les dernières semaines que des réactions violentes, en violation du droit international, ne font pas les manifestants s'en aller et ne font qu'exacerber la frustration et la colère", at-elle ajouté.
            
Au moins 19 personnes, la plupart d'entre eux à Aden, ont été tués lors de manifestations et d'affrontements à travers le Yémen depuis Février 16, selon un décompte de l'AFP basé sur les rapports des médecins et des témoins 
source: france24

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