Cyber Resistant Franco-Tunisien

Une explosion s'est produite ce jeudi matin dans un café de la place principale de Marrakech, ville touristique du Maroc. Au moins 14 personnes, 11 étrangers et 3 Marocains ont été tués par cette déflagration dont l'origine serait criminelle. U n café de Marrakech a été très fortement endommagé par une puissante explosion ce jeudi matin. Au moins quatorze personnes ont été tuées. Et il y aurait une vingtaine de blessés.  Des bonbonnes de gaz La déflagration s'est produite sur la place Jemâa el-Fna, au centre de la principale ville touristique du Maroc. Des bonbonnes de gaz qui ont pris feu seraient à l'origine de la violente déflagration. "Les secours ont été dépêchés sur le lieu et une enquête est déjà ouverte pour déterminer les circonstances de cette explosion", indique un responsable du ministère de l'Intérieur.  Origine criminelle Selon les premières constatations officielles, l'explosion serait d'origine criminelle. "Tout le premier éta...

Marrakech le 28 avril 2011, une explosion au café Argana a fait plusieurs victimes   Twitter / OutCastDigital Une violente explosion a frappé le café Argana, situé sur la grande place de Marrakech, faisant onze victimes. L'origine de l'accident serait accidentelle.   Une violente explosion s'est faite entendre ce jeudi midi sur la place Djemaa el Fna, la plus touristique de Marrakech.   L'explosion aurait été provoquée par des bonbonnes de gaz qui ont pris feu à l' Argana , café-restaurant très fréquenté de la ville. "L'origine de cette explosion est accidentelle", a indiqué à l'AFP un responsable au ministère de l'Intérieur, sous couvert de l'anonymat.   "A 11h50, heure locale, on a entendu une explosion sourde, raconte un journaliste de L'Express, qui se trouvait place Djemaa el Fna. On a tous sursauté, puis vu un panache de fumée noire s'élever au dessus du restaurant et du souk."  Dix minutes après l'explosion, le...

U n café de Marrakech a été très fortement endommagé par une puissante explosion ce jeudi matin. Onze personnes ont été tuées. La déflagration s'est produite sur la place Jemâa el-Fna, au centre de la principale ville touristique du Maroc. Des bonbonnes de gaz qui ont pris feu seraient à l'origine de la violente déflagration, selon l'agence Reuters .

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 28.04.11 | 13h55 • Mis à jour le 28.04.11 | 14h04 Le président israélien Shimon Pérès à Tel-Aviv, le 2 février 2010.AFP/JACK GUEZ Le président israélien, Shimon Pérès, a estimé jeudi 28 avril que l'accord conclu entre le Fatah du président palestinien, Mahmoud Abbas, et le Hamas constituait un obstacle à une paix éventuelle avec Israël. "L'accord entre le Fatah et l'organisation terroriste du Hamas est une grave erreur qui empêchera l'établissement d'un Etat palestinien et va saborder les chances de paix et de stabilité dans la région", affirme Shimon Pérès dans un communiqué. De son côté, Mahmoud Abbas a estimé que l'accord de réconciliation conclu avec le Hamas allait, au contraire, "favoriser les négociations" de paix avec Israël. "Nous escomptons que ce qui a été réalisé [mercredi au Caire] entre le Fatah et le Hamas favorise les négociations", a déclaré M. Abbas à l'issue d'u...

De Jacques GUILLON (AFP) –  il y a 1 heure PARIS — Des dizaines d'immigrés tunisiens, arrivés en France via l'Italie, ont été interpellés cette semaine à Paris et Marseille, et font l'objet de reconduites à la frontière, un signal fort visant à dissuader de nouveaux exilés clandestins qui a suscité la colère des associations. Mardi soir, une soixantaine de personnes ont été placées en garde à vue à Paris et en Seine-Saint-Denis pour "infraction à la législation sur le séjour" et une "majorité d'entre eux ont ou vont faire l'objet d'arrêtés préfectoraux de reconduite à la frontière", a annoncé mercredi soir la préfecture de police. Mercredi vers 21H00, porte de la Villette à Paris, une soixantaine de jeunes migrants, en majorité tunisiens, ont également été interpellés et placés en garde à vue. Ils étaient encore à la disposition des autorités jeudi à midi, selon la préfecture. Toujours mercredi soir, 15 migrants tunisiens ont été interpellés...

Cinq ans et demi après les faits, la cour d'appel de Paris a prononcé un non-lieu en faveur des deux policiers mis en cause dans la mort de deux adolescents. Le Nouvel Observateur avait reconstitué un an après le drame, la traque tragique. Par Elsa Vigoureux. Le 29 octobre 2005, deux jours après le drame, une marche blanche réunit plusieurs centaines de personnes à Clichy-sous-Bois, d'où les deux adolescents décédés étaient originaires. (Sipa) Le jeudi 27 octobre 2005, il est 17 heures passées d'une petite quinzaine de minutes. Au Parc des Sports Marcel-Vincent, sur la commune de Livry-Gargan, à deux pas de Clichy-sous-Bois, dix adolescents finissent une partie de foot, quittent le stade à la tombée du jour. Sans traîner : parce qu'à partir de 18 heures on rompt le jeûne du ramadan. Un groupe remonte alors la rue de Fürstenfeldbruck jusqu'à cette résidence grillagée où tous les habitants sont propriétaires et laissent pousser des fleurs sur leur balcon. Ils sont s...

L'eau et l'électricité sont coupées dans la ville de Deraa, berceau de la contestation du régime en Syrie, où au moins 42 personnes ont été tuées depuis l'intervention de l'armée lundi, selon un militant des droits de l'Homme. "La situation empire, nous n’avons ni médecins ni médicaments, ni lait pour enfants. L’électricité est toujours coupée et nous n’avons pas d'eau non plus", a dit Abdallah Abazid sur place à Deraa, à 100 km au sud de Damas, joint au téléphone à Nicosie. L'armée syrienne, appuyée par des chars et des blindés, est entrée dans Deraa pour mater la contestation sans précédent qui secoue le régime de Bachar al-Assad depuis le 15 mars. Selon M. Abazid, le bilan des morts identifiés depuis lundi "s’établit à présent à 42 martyrs". Leurs familles n'ont pas pu les enterrer car "les forces de sécurité tirent sur toute personne se rendant au cimetière des martyrs" qui est sous contrôle de l'armée. M. A...